La connaissance de Soi


La connaissance de Soi
Porte de toutes les connaissance,  
et destructrice de toute souffrance
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Le jeu de l’égo ou le légo du “JE”
Notre égo joue avec nos pensées. Tentant de rendre factuelle un monde illusoire. L’homme souffre trop de sa condition misérable et de sa médiocrité qu’il tente de dépsser sans cesse.

Il n’y arrive pas. Alors l’égo créer de nouvelles règles du jeu qui le font gagner… dans la pensée.
Les images de réussite n’en sont pas vraiment, et des scientifiques de la connaissance de Soi morts dans l'anonymat le plus total ont vraiment réussi, à être Soi. Ce qui est la seule est unique réussite qui existe. Se réveiller et réaliser qu’on rêve.

Et voir alors que l’égo n’est qu’une petite pièce d’un plus grand légo, au delà ce que qui est perceptible, aussi ineffable que immuable, aussi stable que incommensurable et dont l’essence de la beauté se marie si bien avec la nature de l’Homme. A tel point qu’ils ne font qu’un.

Félicitation ! Et bienvenu dans le grand lego du “JE”
Le problème c’est le problème
Et la souffrance n’existe que par l’égo, qui te piège dans les murs étroits et sombres de l’individualisme. Te privant de goûter à la joie du processus d’individuation.

Si seulement tu cessais de chercher une solution.
Le problème c’est le problème, généré par la pensée.
Le problème est crée de toute pièce par la pensée de l’Homme individualiste.
Il n’aime pas ce qui est.
Parce qu’il ne comprend pas ce qui se passe.
Parce qu’il ne sait pas qui il est.

Il est TOUT ! Et persiste à se prendre pour un moins que rien !

Un savant qui ignore,
un riche qui mendie  

La connaissance détruit la souffrance
La connaissance ouvre une porte,
qui laisse entrevoir les jardins et vergers gorgés de fruits,
la douceur d’une brise, le parfum de la rosée.
Ca y est, t’es sauvé !
La pensée s’est tue
Les désirs et souhaits, envolés
L’égo c’est soumis comme la proie dans la bouche de son prédateur
Mort à lui même, l’être habillé d’humain, a rendu les armes
Lâchant prise sur son humanité dans un torrent de larmes
La vérité l’a secoué
Les fruits mûrs de l’arbre de vie sont tombés
Dans le sol encore humble et humide de l’humus qui fait l’humain
milles autres graines se sont plantés
L’amour fait éclore, encore et encore
autant que l’Homme l’ignore

A l’horizon où ciel et océan, et  mort et vie se touchent
l’éternité s’est déployé
Unique pourtant jamais le même
sans cesse répété
Le grand se crée

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