La cité des pins

La cité des pins
Une épopée de l’enthousiasme

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Pendant ce temps,
Camille au coeur d’or, homme ou femme, voyageait de rencontre en rencontre, de monde en monde comme le Petit Prince d’Antoine. Plongé(e) dans l’illusion, Camille cherche la réalité, dans le mensonge Camille cherche la vérité, par dessus tout Camille se pose la question :”Qui suis-je ?”

A chaque monde, Camille traverse des Péripéties, et comabt son meilleur ennemi aux milles visage : Lego.

LES GENS DES MONDES

Les gens des mondes que traversait Camille avaient plusieurs points communs.

• Ils attendent que quelque chose ou quelqu'un vienne les soulager ou pour les sauver, en faisant leur travail à leur place. Le travail n’est pas compliqué, c’est de faire face aux obstacles, et relever le défi de l’aventure de la Vie.

• Leurs aventures se résument à quelques images collées sur les murs. Il s’agit de la vie, qu’ils désirent, la vie qu’ils veulent, la vie qu’ils rêvent et non la Vie vraie qui est.
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• Comme ils fuient l’aventure de la vie, ils s’ennuient dans une fausse vie qui se répéter sans cesse.

• Ils vivent dans de petits espaces ou le temps passe. Et dans cet espace et ce temps, ils créent l’illusion de l’espoir; en rêvant d’avoir une vie meilleure, un jour, peut-être.

Camille appelle ces petits espaces temps, “la prison des illusions”.

LA PRISON DES ILLUSIONS

Les gens qui sont enfermés dans la prison des illusions souffrent terriblement. Certain sont inconscients, évanouie à cause de la souffrance et d'autres sont conscients et crient de douleur et de désespoir. Les seconds ont plus de chance que les premiers, car ils peuvent encore mettre fin à la prison des illusions.

Dans la prison des illusions, ils trouvent du réconfort dans la relation avec les autres.

Le problème c’est que tout ce qui entre dans la prison des illusions se transforme aussitôt en illusion.

Une illusion c’est ce qui n’est pas vrai.

Comme leurs relations sont des illusions, ils se sentent très seuls. Certains, qui n’arrivent pas à se divertir, souffrent tellement de cette solitude qu’ils en deviennent fous.

3 leur vie est difficile, répétition ennuyeuse et frustrante

Dans la relation ils espèrent être réconforté. AInsi ils vivent ensemble mais séparés les uns des autres, pour achever l’existence  comme ils veulent. c’Est à dire faire le monde à leur image.

Ils se posaient des questions tel que : qui suis je? d’où est ce que je viens ? qui m’a fait comme ça avec des mains une bouche un né ? pourquoi est ce que je suis là ?

nt leur donne des réponses toutes faites, en disant que c’est comme ça sur les images collées sur les murs de la prison des illusion, et que c’est la vérité.

Et souvent ils acceptent les réponses qu’on leur donne, sans jamais oser le vivre, juste pour voir si c’est vrai.

C’est comme ça qu’ils vivent en attendant d'être sauvé, de leur ennuie, de leurs douleurs, de leur solitude, et de leurs question, par cette promesse : “à l’extérieur de la prison des illusions quelque chose ou quelqu’un, viendra nous sauver pour une vie plus jolie, un jour, peut être”

Si seulement ils savaient que cette promesse est fausse.

LES SAGES

Dans chaque monde, il y a des villes, dans chaque ville des villages, dans chaque village des cités et dans chaque cité, un sage.

Que ce soit un homme sage ou une femme sage, en général le sage est une personne, qui n’attend rien de personne. Elle est indépendante, créative et elle puise sa sincérité dans  profond puis, qui ne s’épuise jamais.
Bref il a beaucoup d’eau et même si personne n’a soif, le sage, lui, a autant soif qu’il y a d’eau dans son puit.

Même s’ils n’en ont pas besoin, de temps en temps et hors du temps, les sages se réunissent pour être soi, parler vrai et vivre des relations sincères, autour d’un verre d’eau.
Cet amour pour l’eau leur vaut la critique des gens de la prison des illusions. Ils disent que les sages vivent “d’amour et d’eau fraiche”, alors que pour eux ils faut “souffrir pour gagner sa vie”

Pour les sages, la vie ne se gagne pas. Et il n’y a personne qui gagne sa vie ou qui perd sa vie.

Pour les sages, la vie se vit. La vie c’est ce qui est, et le sage aime ce qui est, autant qu’il a soif, et il a soif autant qu’il a d’eau dans son puit.

Les gens des mondes souffraient de manquer de joie, et qu’ils pensaient trouver une solution en allant puiser de l’eau chez les “autres”. Ils appelaient cela, “la relation à l’autre”.

Pendant ce temps les sages, eux, bénéficiaient d’une source d’eau qui ne fini jamais et qui prend sa source en Soi et non dans les autres. Ils ne demandent rien à personne, car Ils savent que tout le monde a cette eau en soi et peut en bénéficier autant qu’il a de soif. Et cela à une seule condition : ne rien demander à personne.
Ils appelaient cela “la pauvreté”, même si certains sages étaient financièrement très riches, ils aimaient, plus cette “pauvreté” que leur richesse.
On dit qu’on est pauvre qu’on est pauvre de quelque chose quand on n’en a pas beaucoup ou pas du tout. Par exemple : pauvre en intelligence, pauvre en argent, pauvre en relations ...Etc.
La “pauvreté” des sages, est de ne pas avoir de désirs.

Et Camille désirait être libre.

Pour trouver une réponse à ses questions, et des solutions à ses problèmes, Camille voyageait parmis les et dans les mondes.

L’histoire qu’on raconte est moins important que l’histoire que l’on vit
et l’histoire que l’on vit moins important que celui qui l’observe

Personnages

Camille rencontre plusieurs personnage
Le sage Benoît, dans la cité des Pins
Faryus l’aventurier intrépide qui lui ressemble

Moments clés
Camille rencontre le sage de la cité des pins