Pourquoi les gens se suicident 1 jour sur 2 au Paradis ?





Consultant, Formateur et Conférencier de l'Enthousiasme

Farzad Felezzi, échange avec vous lors de séances dynamisantes, sur la nécessité de s'exprimer avec enthousiasme.

Appuyant ses interventions sur des outils, et techniques de pédagogie active, d'études scientifiques, et de retours d'expérience terrain.

Il agit auprès de tout individu et entreprises depuis plus de 10 ans.
Au travers de séminaires, et conférences, courtes qui donnent l'énergie et l'audace d'exprimer vôtre enthousiasme.

Son message :

"Comprenez les rouages de la manipulation,
Exprimez l'enthousiasme qui est en vous !
C'est essentiel, c'est vital !

Pour étudier, créer, vendre, exercer un métier.
Cette expression n'est pas uniquement orale, ni même mentale, elle peut être peinte, dessinée, jouée, ou même dansée.

L'enthousiasme, c'est la sincérité qui  émerge lorsque toutes nos tracasseries, nos conditionnement (croyances et habitudes répétées) s’effacent un instant.

La réunion est une terre,de rencontres et de relation, idéale pour exprimer vôtre enthousiasme. N'est ce pas ?

Alors pourquoi 1 personne se suicide tous les 3 jours sur ce paradis terrestre ?


Enquêtons, explorons ensemble ce phénomène :
Comment se fait-il que la pauvreté, la misère, et la dépression existent même dans les plus beaux, et hauts lieux du monde.

Observons sur 4 niveaux

1 - Avoir ce que je veux
2 - Que nous tous ayons ce que nous voulons
3 - Que le monde ai ce qu'il veut.
4 - Qu'il n'y ai plus de volonté (ou de pensée qui dit "je veux")

Prenons comme hypothèses 3 points de vues selon lesquels nous pourrons nous observer.
- Moi, mon corps : observation égocentrique
- Nous, nôtre clan, notre groupe, notre île ou nôtre société : observation ethnocentrique
- Nous tous : l'humanité et la nature dans sa globalité : observation mondécentrique

Et un 4 ième point de vue exceptionnel que nos verrons plus tard.

Lorsque l'attention se porte sur le premier champs d'observation t qu"il semble satisfaisant, équilibré, ou fonctionnel, on appel cela le "bonheur". C'est tout ce qu'on veut. Souvent cela nos apporte confort, facilités, bien être, à soi, aux autres, au monde.
Quand il s'agit   préoccupations et tracasseries quotidiennes se concentrent sur le premier champs d'observation, c'est le malheur, c'est ce qu'on ne veut pas et qui est source d’inconfort, de sensations désagréable, de douleur, d'insatisfaction. Et peut mener jusqu'à la dépression, voire même au suicide.

Solution : élargir la conscience de Soi, du petit "moi" vers "nous" en ayant des relations nourrissantes avec les autres (altérité positive), et avec nous tous, ressentir sa connexion avec les hommes et le monde dans leur globalité.

Le phénomène même de la douleur, est un signal que ce processus est en train de ce produire. Y opposer une résistance peut être difficulté, engendrer souffrance et pulsions morbides.

En effet, quand j'élargie ma conscience à "Nous", ce implique que le "moi" meurt, pas dans le sens où le corps meurt, mais l'identification au "moi", les étiquettes, titres et fonctions qu'on y a posé, tout cela prend une si petite importance qu'il deviennent secondaires, jusqu'à ne plus y penser comme si cela n'avais jamais existé. 

Vous commencez peut être déjà à en voir une application concrête dans vôtre quotidien, vous vôtre foyer, vôtre famille, vous vôtre équipe, vôtre entreprise, vous, vos collègues fonctionnaires votre institution territoriale.

Nous verrons ça dans un prochain article

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