DROITS DE LA FEMMES

Bon
J'ai fais une petite liste des droits conquis au bénéfice des Femmes (voir fin de cet article)

Et C'est très enthousiasmant ! 
On voit bien l'évolution, avec le droit de vote, d'avoir un compte bancaire, de travailler et j'en passe. 

Mais cette évolution laisse comme un goût d'inachevé. Car même avec plus de droit, l'inégalité est toujours là. Et la femme reste l'être bzur laquelle pèse le plus de pénibilité sans récompense et sans reconnaissance.

Il y a un problème, voire même une multiplication des problèmes déjà existants. 

Il semblerait qu'au nom de l'égalité femme/homme, nous ne nous sommes pas rendu compte que les valeurs de la femme/mère a été remplacée par celles de la fille de joie dans une quête de plaisirs individualistes et maternicides.

Alord qu'elle n'était disponible que dans les maisons closes pour les plaisirs de l'homme, la femme se vend aujourd'hui à toutes les sauces, pour des sandwichs, des vêtements, des boissons, des objets et services en tout genre que l'homme capitaliste lui fait porter. Et même si elle accepte de jouer le jeu, il y a toujours un malaise en arrière plan. Avec cette sensation peut être d'avoir fait trop de compromis, d'avoir garder trop de secrets, d'avoir laissé faire les abus, les mauvaises langues et d'avoir pris sur soi dans le silence assourdissant d'une injustice trop longtemps subi. Au point où c'est devenu, Tabou, au point ''elles'' et leurs souffrances son devenus Invisibles. 

QUI TRÔNE SUR CETTE INJUSTICE ? 
Le règne de la religion du capitalisme dit que l'accumulation de biens et des profits à l'infini est possible, louable, vertueux et souhaitable. 

En clair, celui qui possède le plus doit être le plus admiré et tous doivent le suivre. 

Cette religion qui s'est placé au-dessus de toutes les autres à prévu une place pour chaque action et un rôle pour chaque acteur, elle fonctionne en mode gestion de projet, elle vise la performance, l'excellence et le progrès dans sa soif de conquêtes agressives, qu'elle appelle avec affection, au doux nom de RÉUSSITE ! 

Ce qui compte c'est ce qu'elle VEUT
Mais jamais CE QUI EST. 

Cette pensée qui veut dominée, 
Elle voudra éduquer des enfants dociles, obéissants et loyaux qui vont produire pour son profit, et son argent. Elle ne les rencontrera pas pour pour ce qu'ils sont, ni pour leurs Talents. 
Et même si sont discours le calme de façon séduisante, au fond elle se dissocie de la réalité, elle ment. 

Cette pensée a 3 piliers fondateurs, 3 rapports de domination  dont la deuxième concerne les femmes. 

1) domination par l'argent (qui domine le pouvoir)

2) domination par le sexe (l'homme est supérieur à la femme et détermine son rôle) 

3) domination par la race ( ou le mode de pensée blanc ou ''non Blanc'')

Je suis né de l'alliance de deux familles, celle du désert maternelle avec une structure sociale matriarcale et celle de la mer où le pouvoir du père tenait la place centrale. 

Laquelle des deux va gagner ? 
Entre homme et femme, c'est la question que posent nos contemporains à travers le concept ''d'égalité homme/femme"

Certains diront c'est a nous de décider
Je répondrais que la question est mal posé. 
Je dis que la vraie question serait plutôt

Comment l'un et l'autre ont été pervertis par la course aux plaisirs qui caractérise notre temps, et qui est l'arme fatale du capitalisme.

 Car quiconque a un manque se crée des désirs
 et quiconque a des désirs se met en quête de plaisirs à assouvir 
(Car personne ne veut être malheureux n'est ce pas ?) 
Enfin quiconque est en quête de plaisirs vit dans une souffrance perpétuelle entretenue par... Le manque. 
Et tu refais la boucle du cercle vicieux ! 

Cela ne date pas d'hier, c'est le principal symptôme de notre humanité et ce n'est pas la faute du capitalisme.

Mais le système capitaliste a poussé cette logique jusqu'à son maximum, jusqu'à son paroxysme, il a écrit la loi avec et il a réussi à persuader tout un chacun d'accepter et de soutenir ça en tant que norme sociale. 

C'est un vrai tour de force ! 

CHEZ LE PÈRE HÉRO

Dans la famille de mon père c'était plutôt le père qui dirige et qui est estimé. L'autorité protectrice, la prise de risque, la conquête mesurée de confort, la sécurité et l'ordre sont des valeurs courantes. 

Sur la base de ces vertus la société capitaliste a suggérée, plus d'ordre par plus de procédures et de contrôles, pour partir dans une conquête agressive et démesuré d'excès de conforts, en commençant par vendre le plaisir collectif jusqu'à arriver aujourd'hui à refourguer sans aucune pudeur, le luxe individuel au service du quel il a séduit la femme/mère pour abandonner volontairement sa nature maternelle pour devenir une femme de plaisirs, une fille de joie. 

 Et oui !  il y a un temps où nos pères n'auraient osés porter une montre de marque, préférant s'en passer pour que la dépense soit investi dans le bonheur collectif de la famille.

Cet homme là n'est pas charismatique, il est inconnu des lieux publics, aucune femme n'est à son bras, il n'est pas sur la première de couverture, il est une présence qui est comme une couverture pour celui qui a froid. Et quiconque a faim  de vérités peut trouver dans sa Paroles simple et sans fioritures, une nourriture apaisante. Et quiconque a soif de vraie joie, peut trouver dans son humour et son esprit pure, un vin qui égaye les cœurs et allège les soucis. Souvent sur les photos de famille il est sur le côté, tout au fond. 

Cette présence peu de gens La voient et en même temps tout le monde sait qu'elle est là. 

Le matérialisme a fait de cet homme un travailleur, un ouvrier, il a piétiné son cœur, et fait oublié sous une montagne de tâches à accomplir, ses précieux talents maintenant dévoyés.

J'ai hâte du jour bienheureux où ce héro va se réveiller en vrai guerrier pour abattre les hautes murailles de l'ego par la pointe son épée aiguisé de la vérité de l'amour. Et sous protection de son armure d'humour personne peu sont ceux qui s'autorisent à oser l'injustice et l'inéquité.

CHEZ LA MÈRE DIVINE 

 Dans la société matriarcale, la mère tient une place sacrée. Là ce sont les femmes qui ont les métiers en mains, elles sont le Canal de transmission des savoirs faire et surtout des valeurs et de vertus d'hospitalité, de solidarité, de don de Soi, de prospérité d'entraide et de Paix pour tous. 
Le commerçant capitaliste à vendu a cette femme vertueuses les manques généré par une vie défini comme trop besogneuse. À l'ère de la religion d'un capitalisme, le service de mère est montré comme le servage de la femme que les produits et objets de consommation libèrent. Sa place est redefini, son Rôle est requalifié, On l'appelle maintenant ''la ménagère''. 
Mais cela ne suffit pas,
Cette liberté individuelle doit être poussé, la femme libre est la Femme dénudée, libertine et sans pudeur, libre de refuser d'avoir des enfants, Libre de disposer de son corps, libre de refuser la famille, libre de gagner de l'argent pour elle seule. 

Ces libertés proposés au sociétés ont aussi attaqués les fondations des voies spirituelles qu'elles empruntaient. Le commerçant a réussi à convaincre et persuader les gens que le bonheur n'est pas ailleurs que dans ce monde s'il a le pouvoir de l'acheter. Il a classé les religions sans suite en les montrant du doigt comme des institutions qui tuent la liberté personnelle et individuelle. 
Tout nous fait du mal, on sens qu'il y a un malaise avec cette impression d'avoir perdu quelque chose de précieux, tout ça nous le savons, et nous le vivons, 
C'est pourquoi nous avons créé une vie dissociée où nous allons faire un tour à l'église, au tample ou à la mosquée, pour aller ensuite faire du shopping après. 

Or, pour chacune de ces libertés négociées, elle perd une des précieuses vertues qui lui étaient associée. Sans le savoir en vraie, et cependant de son plein gré. 

Le diable ne fait pas son contrat sans contrepartie. Pour chaque plaisir que tu gagne une souffrance est offerte. 

Où en sommes-nous maintenant ? 
Une Zone de non droit où tout est permis dans le cadre de la lois que nul n'est censé ignorer mais que tout le monde peut se permettre de transgresser. 
Nous sommes au comble du paradoxe où tout et son contraire se côtoient. 
Où un nouvel événement ou une loi qui se veut en faveur des droits de la femme, même avec toute la bonne volonté des acteurs qui l'organisent, contribuent en toile de fond à renforcer les rapports de domination par l'argent, le sexe et la race. 

Comment s'en sortir ? 
- voir qu'on est dedans. En observant bien quelle place, quel rôle nous jouons là Dedans. 
- en faisant des tests de vérité, en se questionnant. 
- en refusant de retourner dans le passé là où l'on pense que c'était mieux avant
- en refusant de se convaincre que ce sera mieux demain
- en observant ce qui passe , là maintenant

La vertu est un phénomène vécu. La vertue, ne peux être stockées, conservée, protégée. Personne ne peut la ni la voler. 

Elle est comme l'amour authentique d'une mère pour son enfant, l'affection silencieuse de la présence d'un père aimant. 

Elle peut être donnée par ceux qui sont aptes à l'exprimer. Exprimer la vertu, exprimer l'amour, exprimer l'enthousiasme. 





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