largent ou les talents, la bourse ou la vie (partie 1)

Il y  pénurie de talents 
Parceque 
A force de vouloir gagner de l'argent pour acheter des plaisirs 
L'être humain n'avais plus le temps de cultiver des talents 
Au mieux d'offrir la.joie de sa créativité, il ne pouvait qu'être pris par le.temps, donner de sa vie pour obtenir de l'argent 
Il en était venue a ne plus ressentir de dignité s'il n'était pas résigné à s'éreinter pour des intérêts privés sans jamais penser ni voir la communautés.

Ainsi il vivait 
Ainsi il vieillissait
Ainsi il mourrait

La souffrance était son quotidien
Le cauchemars était sa vie rêvée

Tél aurait pu être notre monde, si l'homme n'avait pas changé 
Tél est l'histoire qu'on connait de l'ancienne humanité. C'est comme ça que papa me le racontait avant de me border dans La nuit calme, tout est apaisé, tu sais ? Ce moment où l'on dirait que tout dans la chambre  s'est  endormi à La lueur de la lampe de  chevet. 

C'était l'heure pour tous de dormir aussi
Mais pour moi c'était la bonne heure
L'heure propice
Pour m'interroger. 

  • Dit papa, pourquoi l'homme était comme ça !?
  • Parce qu'il ne savait pas
  • Qu'est-ce qu'il ne savait pas ?
  • Il ne savait pas qui il est !
  • Ah bon ! Disais je tout étonné 
  • Oui ! Dit il en soupirant
  • Et pourquoi il ne savait pas ? 
  • Parcequ'il avait appris à devenir ce qu'il n'est pas
  • Ooh !

Je suis surpris, pourrai le monde n'est pas comme ça autour de moi. Je me demande comme ils avaient réussi à en arriver là. 
Même s'il avait envie d'aller dormir je dis

  • Papa ! Raconte moi

Alors il se lève, avec bonheur
Il sort sa.voix de stentor et d'orateur
Il n'y en n'a pas deux comme lui aussi éloquent, grandiloquent
Quand il parle ainsi les faux rois s'en vont
Et le.trone reste vacant pour l'innocent

Tel est le héros lègendaire qui me parlait
Le destructeir des egos obèses et mal placés

  • Fils ! 
Il fut un temps où l'homme avais leur de la mort,sa vie n'était que chagrin. Il pensait qu'il devait faire quelques chose pour gagner sa dignité, il s'obligait à travailler, le travail que tu ne connais plus, consistait à partir le matin faire des choses qu'on te commande et rentrer le soir fatigué, épuisé, sans passion sans sourire. Avec dans ses pensées tout ce qu'il peut se passer de pire ! 

Le salariat
C'est ainsi qu'on appelle ça. 
Quelsue chose que tu ne connais pas, 
Et que jamais tu ne connaîtra

Imagine un instant
Un homme qui travaille pour un homme qui ne travaille pas
Le second cherche à s'enrichir et avoir le pouvoir tandis qu'il promet au premier : " tu auras tout ce que tu voudras, tant que tu travailles pour moi''
Et si tu ne le fais pas 
Tu seras parmi les pauvres, les sans dents, les indigents, les misérables. 

Oui ça aussi tu connais pas 
Et jamais tu ne connaîtra

La misère
C'est L'état dans lequel se trouvaient ceux qui n'avaient plus la force, et ni le cœur de détruire la nature et de sacrifier l'autre. Alors ils devenaient pauvres. 

Personne ne voulait de Cet état 
Et comme chacun vivait pour son ''moi''
Tout le monde ignorait la honte de tout ça

Le plus riche savait au fond de.lui qu'il était responsable, que son confort était bâti par la sueur et le sang du misérable. Mais pour se rassurer, et continuer il disait ''tout celà c'est par mes efforts, c'est moi !!"

Tu Vois ? 
Ce 'est pas tout 

La peur de la misère les menait à faire un tas de choses dont ils n'avaient pas envie. 
Et quand le salariat devenait trop difficile
Il avaient créé quelque chose d'autre
Une fausse solution

L'entrepreneuriat
Il s'agissait de devenir un expert pour prendre quelque chose de l'autre (soivent de l'argent) en échange d'une promesse, quelque chose qui le rendra heureux et bien entendu quelque chose qu'il n'a pas. 
La situation des entrepreneurs était pire que celle des gens salariat. Ils devaient se contraindre à devenir des tueurs tout en acceptant de n'avoir aucun temps pour soi. 

Ainsi le monde était dirigé par les plus vieux orgueilleux, par les les meilleures compétiteurs, les malfrats et scélérats. 

Leur égo était une infections qui contaminait le monde du pu de la convoitise, et du mensonge. Et tout le monde s'en délectait. Comment ? 

Pour résoudre un problème ils proposaient une solution qui gênerait encore plus de problème. Par exemple

Les vacances
Était le moment de partir, de s'évader du lieu dans lequel on s'est laissé faire prisonnier pour en découvrir un autre. 

Les loisirs et divertissements
Après s'être fait tant de mal, l'homme allait se faire du bien, il allait se divertir. Il jouait et s'amusait pour de faux, car il redoutait l'heure où il devrait retourner s'obliger à souffrir. 
L'école était ainsi faite pour le dresser, il y avait la salle de classe lieu de travail et de souffrance, et la récréation, lieu de loisirs où l'on s'attache aux plaisirs pour oublier les souffrances détestés mais qu'ils s'obligaient à retrouver après. 

Toute la vie était organisée autour de divers concepts tel que 

Les promesses
Qui consistait à dire quoi faire pour que demain soit meilleur qu'aujourd'hui.
Certains même étaient tellement dans demain, suis étaient dans le déni de ce qui se passe Aujourd'hui. Il avaient pour projets les plus hautes tour la technologie les chemins de fer
Alors que dans l'aujourd'hui il n'y avait que mendicité et misère. 

Les regrets du passé
Les plaisirs perdus et démodés. Le temps d'avant, jamais maintenant. 

Les différences
Chacun ne voyait que ses propres intérêts, et s'ils avaient les mêmes intérêts ils se guettaient pour se comparer au lieu de se rassembler, comme maintenant pour coopérer. 

Fils c'était une vie infernal
Ce soir tu risque d'en rêver
Mais n'ai pas peur, si tu te perds
Reviens au seigneur intérieur

Demain je te raconterai la suite
Je te dirais ce qui s'est passé
Comment beaucoup sont morts
Comment avec quelques uns
Nous avons finalement triomphés. 


Il partit par la porte après avoir déposé un doux baisers sur mon front. Il aimait me voir dans l'interrogation, et souvent il me donnait des éléments pour imaginer, mais jamais il ne m'a donné toute l'histoire 
Ça jamais ! 
Il me laissait toujours avec une plus grande soif de connaître. Prenant soin de donner assez d'éléments pour me laisser imaginer et suffisamment d'intrigues pour ne rien conclure et continuer à me questionner. 

Chaque objet de ma chambre est fabriqué
Par la main talentueuse d'un être passionné.
Au milieu des ces objets je ressens une proximité. Comme un souffle qui se transmet

Petit a petit mes yeux se ferment tout en se posant sur un objet bien particulier
Un tapis magique créer par la diversité, par des femmes qui chacune avait donné un bout de tissu carré, qu'elles ont rassemblé en un grand tapis de Paix. 

Sur l'un des tissus carrés était écrit le prénom de mon grand père adoré, le vainqueur joyeux de tous les obstacles à l'éternité,. Nirvan, c'est comme ça qu'il s'appelait. 

J'entendis un dernier son avant de dormir pour de bon, c'est papa qui parle à maman il dit

Quand l'Homme s'éveille
Il ne peut s'empêcher d'empêcher tout le monde de dormir. 
Sa soif a augmenté








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